Tuesday, June 19, 2007

Hoy tuve la agradable sorpresa de encontrar el blog de mi amiga alma en la red. Sus billetes estan geniales y llenos de inteligencia, lo que no me sorprende de ella. Paso al final la direccion por si alguien quiere ir a visitarla y leer sus pato aventuras en Paris.
En general no sé como la gente concuerda con el pensar de alguien, por que a veces estamos de acuerdo incluso con la gente que no pienza como nosotros (aunque suene contradictorio). Yo en mi caso no busco a la gente bien pensante o sensata. Tampoco a la gente que busca su felicidad a través de la religion, la tele o los valores "familiares". Creo que prefiero a la gente que dice lo que pienza e incluso que le gusta causar controversia con su pensar (fundado en algo vàlido, no en sueños de opio o en mocherias). En francés se llama "jetter un pavé sur la mare" que quiere decir algo asi como echar una piedra (piedrota) en el pantano. En ese pantano tranquilo en donde nada se mueve y en donde los patos estan bien contentos nadando en sus aguitas tranquilas bien puercas. Echas la piedra y se crean unas olotas y los patos se encabronan, el musgo de la superficie se mueve y logras ver un poco el fondo del estanque.


http://el-blog-de-amy.blogspot.com/

Tuesday, June 05, 2007

Il a fallu mentir un peu. J'avais un peu marre de cette intolérance, de l'homophobie, du racisme existant. J'aurai jamais cru qu'ils seraient aussi rigides que cela. Mais il faut comprendre que la plupart ont une situation pas très facile dans ses pays d'accueil. Pourtant ça aurait du aider à ouvrir un peu sa pensée! mais à la place ils répètent les mêmes défauts que les habitants de sa terre d'accueil. Bon, au même temps c'était évident qu'ils feraient ça. En plus la plupart d'entre eux son jeun(es), avec une formation pas finie ou sans experience profesionnelle..

Ce n'est pas ce qui a de mieux (comme moi, d'ailleurs). Pourtant, ils parlent sans une double pensée, sans être complexés par une pensée trop tordue ou recherchée. Ça c'est de mériter. C'est peut être pour cela que je continuais là bas. Dans ce lieu où il y avait vraiment des coeurs naïves, mais vivantes et sincères.